Par ailleurs (et surtout), Chine et Europe ne sont pas concurrentes sur le grand export (bien qu’ils le soient en termes d’implantation – IDE). Les structures des appareils exportateurs des pays de l’OCDE sont orthogonales, mais non-substituables et complémentaires. Les deux blocs « font » leurs parts de marché sur des pays/produits très différents et leur analyse comparée a peu de chance de distinguer des points d’intersection (PM de 27.5 % en 2011 pour l’UE et de 12.5 % pour la Chine, 8 % pour le Japon – le 10 % pour les USA n’est qu’un trompe-l’œil, car le CA consolidé des multinationales US dans le monde s’élèverait à hauteur des 2/3 du commerce mondial).
viaL’économie chinoise : avantages, coûts et délocalisations (2/2) | Le Cercle Les Echos.